Dans une nouvelle approche phygitale (stratégie visant à mixer des aspects physiques, offline, et des aspects digitaux, online), le retail reste un porte-étendard de la technologie des murs d’images.
Immersifs, interactifs, impactants… Ces nouveaux types d’affichages dynamiques marquent les esprits.
Mais l’objectif commercial ou publicitaire n’est pas le seul usage de cette technologie. Elle peut également avoir une importance capitale dans la recherche universitaire. Prenons l’exemple de l’Observatoire de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (OVSQ).
Lorsque l’OVSQ accueille le mur d’images baptisé MIRE (pour Mur Immersif pour la Recherche et l’Enseignement) : avec une surface d’affichage de 6m d’envergure et d’1m80 de hauteur, MIRE est un des fleurons français dans l’affichage dynamique destiné à la recherche gérée par une infrastructure High Performance Computing.
Le mur d’images permet de représenter visuellement des résultats de simulations numériques avec lunettes 3D et suivi de mouvement (tracking) et traitement en parallèle des données.
Dans un autre contexte collaboratif, il sert également avec ses configurations multi-écrans : chaque utilisateur ou groupes d’utilisateurs peut présenter ses données sur un écran, partager et discuter… L’université a différents types d’usages pour le mur d’images.
Cindy Castro, Ingénieure systèmes informatiques à l’OVSQ